Chasta (Guillaume Chastagnol GC) , c'est le mec qui écoeure. Il est toujours dans des endroits paradisiaques et envoie des tricks comme personne sur terre (et sûrement dans l'univers). On en a déjà parlé un million de fois (ici et ici par exmple). C'est donc l'occasion de mieux connaître le bonhomme!! J'ai donc traduit une interview de lui parue dans ikitemag (IK).
IK : Depuis combien de temps tu fais du snow kite ?
GC : Ca va faire 9 ans maintenant
IK : Comment t’es tu mis au snowkite ?
GC : j’ai commencé à skier à l’âge de 2 ans là ou je suis née, aux deux Alpes, et j’ai vraiment grandi comme un garçon des montagnes. J’ai commencé les snowboard à 16 ans et tout s’est enchaîné très vite. La première année j’ai été champion de France de Half Pipe puis l’année d’après j’ai fini dans les 8 premiers de la coupe du monde. Et j’ai aussi fait une belle performance aux X-Games (médaille d’argent) et aussi j’ai fini 5ème des jeux olympiques d’Hivers au Japon en 1998.
j’ai pu rider sur les meilleures montagnes du monde, rider la meilleure neige et les meilleurs snowparks. Mais un jour (il y a 9 ans) malheureusement j’ai essayé un petit kite ; et c’est à ce moment que j’ai compris immédiatement le potentiel de ce jouet. J’étais en bas de la grand montagne (le col du Lautaret), prêt à être propulser par le vent jusqu’en haut ! au début, c’était mon but, escalader toutes montagnes et les vallées autour de mon spot. Ensuite, j’ai adapter tous mes figures de snowboard pour le kite. Je n’avais pas peur d’envoyer du gros, j’avais l’habitude de me crouter lourdement en snowboard, surtout dans le halfpipe verglacé.
IK : tu as été Champion du monde de snowkite n’est-ce pas ?
GC : oui, à la fin je suis devenu trois fois champion du Wintertour, c’est une coupe du monde pour le snow kite.
IK : tu vas continuer à faire des competes ?
GC : c’est pas l’aspect le plus important pour moi. Ce que je veux, c’est montrer aux gens ce’ qu’il est possible de faire avec du vent et un Kite. Maintenant, j’essaye juste de pousser ce sport dans la direction que je souhaite (une dimension libre, la freeride direction). C’est juste le meilleur sport de tous les temps.
Le snowkite c’est un ticket pour la liberté, ça veut dire que tu peut t’arrêter quelque part où il y a de la neige et du vent, sortir ton kite et escalader simplement la montagne qui est en face de toi. Ensuite, range ton kite quand tu es en haut et descend en snowboard, ou bien tu peux aussi voler depuis le sommet, comme un parapente, traverser plein balle, sauter au dessus d’une vallée, sauter des rochers de fous et atterrir « smoothly » sur le plat. Et juste rider toute la journée comme tu ne l’as jamais fait avant. Ce sport est vraiment un mixe de tous les sports qu’on connaît, et ce n’est que le début de l’histoire. Le plus important, c’est qu’il est facile de concilier la famille avec ce sport. Par exemple, j’ai toujours emmené ma fille partout depuis qu’elle a 1 an. J’adore passer le virus du snowkite autour de moi.
IK : En étant un des pionniers de ce sport, tu as été obligé de tout inventer ! d’où te viennent tes influences ?
GC : de mon cerveau ! Mais toutes ces années de snowboard m’ont énormément aidé pour tout ce qui est freestyle.
(La suite bientôt!)
IK : Depuis combien de temps tu fais du snow kite ?
GC : Ca va faire 9 ans maintenant
IK : Comment t’es tu mis au snowkite ?
GC : j’ai commencé à skier à l’âge de 2 ans là ou je suis née, aux deux Alpes, et j’ai vraiment grandi comme un garçon des montagnes. J’ai commencé les snowboard à 16 ans et tout s’est enchaîné très vite. La première année j’ai été champion de France de Half Pipe puis l’année d’après j’ai fini dans les 8 premiers de la coupe du monde. Et j’ai aussi fait une belle performance aux X-Games (médaille d’argent) et aussi j’ai fini 5ème des jeux olympiques d’Hivers au Japon en 1998.
j’ai pu rider sur les meilleures montagnes du monde, rider la meilleure neige et les meilleurs snowparks. Mais un jour (il y a 9 ans) malheureusement j’ai essayé un petit kite ; et c’est à ce moment que j’ai compris immédiatement le potentiel de ce jouet. J’étais en bas de la grand montagne (le col du Lautaret), prêt à être propulser par le vent jusqu’en haut ! au début, c’était mon but, escalader toutes montagnes et les vallées autour de mon spot. Ensuite, j’ai adapter tous mes figures de snowboard pour le kite. Je n’avais pas peur d’envoyer du gros, j’avais l’habitude de me crouter lourdement en snowboard, surtout dans le halfpipe verglacé.
IK : tu as été Champion du monde de snowkite n’est-ce pas ?
GC : oui, à la fin je suis devenu trois fois champion du Wintertour, c’est une coupe du monde pour le snow kite.
IK : tu vas continuer à faire des competes ?
GC : c’est pas l’aspect le plus important pour moi. Ce que je veux, c’est montrer aux gens ce’ qu’il est possible de faire avec du vent et un Kite. Maintenant, j’essaye juste de pousser ce sport dans la direction que je souhaite (une dimension libre, la freeride direction). C’est juste le meilleur sport de tous les temps.
Le snowkite c’est un ticket pour la liberté, ça veut dire que tu peut t’arrêter quelque part où il y a de la neige et du vent, sortir ton kite et escalader simplement la montagne qui est en face de toi. Ensuite, range ton kite quand tu es en haut et descend en snowboard, ou bien tu peux aussi voler depuis le sommet, comme un parapente, traverser plein balle, sauter au dessus d’une vallée, sauter des rochers de fous et atterrir « smoothly » sur le plat. Et juste rider toute la journée comme tu ne l’as jamais fait avant. Ce sport est vraiment un mixe de tous les sports qu’on connaît, et ce n’est que le début de l’histoire. Le plus important, c’est qu’il est facile de concilier la famille avec ce sport. Par exemple, j’ai toujours emmené ma fille partout depuis qu’elle a 1 an. J’adore passer le virus du snowkite autour de moi.
IK : En étant un des pionniers de ce sport, tu as été obligé de tout inventer ! d’où te viennent tes influences ?
GC : de mon cerveau ! Mais toutes ces années de snowboard m’ont énormément aidé pour tout ce qui est freestyle.
(La suite bientôt!)
1 commentaire:
A lire avant de partir à Chantilly ce WE.....
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