C'est ainsi que je me suis lancé dans la quête de la protection ultime.
Protection qui puisse allier le confort et l'efficacité.
Début prometteur puisse que j'ai réussi à dénicher ces genouillères.
Le plus est dans le matériau utilisé pour absorber les chocs.
Cette matière est malléable jusqu'à ce qu'elle soit choquée.
Là elle se durcit protégeant le coude ou le genoux ce trouvant derrière.
c'est pour cela que je trouve cette innovation intérréssante pour la pratique du powerkite.
pas de coque rigide mais protection maximum.
bien sûr toute innovation à son prix mais, au risque de me répéter, notre corps n'a pas de prix.
84€ la paire de genouillère ; ça ça fait mal aux genoux :-)
ceci dit en cherchant un peu , doit trouver moins cher .
Pour les sans le sous il est toujours possible de s'en fabriquer avec de l'eau et de la maïsena.
vous trouverez ci dessous quelque liens.
pour les scientifique en herbe, ce type de fluide s'appelle fluide non newtonien .
Les fluides peuvent se classer en deux familles relativement à leur viscosité, une de leur caractéristique physico-chimique. La famille des fluides "newtoniens" (comme l’eau, l’air et la plupart des gaz) et celle des fluides "non newtoniens" (quasiment tout le reste... le sang, les gels, les boues, les pâtes, les suspensions, les émulsions...). Les fluides "newtoniens" ont une viscosité constante ou qui ne peut varier qu’en fonction de la température. Les fluides "non newtoniens" ont, en plus, la particularité d’avoir leur viscosité qui varie en fonction de la vitesse et des contraintes qu’ils subissent lorsque ceux-ci s’écoulent. La rhéologie est la science qui traite des fluides "non newtoniens".
2 commentaires:
Wouhaaa c't'article qui tue !!
J'ai fait la même expérience à Fort Mahon dans les sables mouvants. Alors que je roulais tranquillou sur du sable hyper dur je suis obligé de m'arrêter devant une bache pour juger si je pouvais sauter au dessus ou non.
La réponse est "oui", je vais pouvoir balancer la sauce et traverser au sec.
Je relance donc l'aile dans l'autre direction pour prendre de l'élan (tilope) et là c'est le drame. Je me fais carrément arracher par l'aile et la planche reste scotchée dans le sable. Je retombe très lourdement sur un sable hyper dur.
Alors sable dur ou mou... J'ai l'impression que lorsqu'un choc survient, le sable devient super dur mais si jamais on ne fait rien (comme les roues du MTB) on s'y enfonce.
Merci Kricetof par cette leçon de physique à faire palir JM !!
Génial ton article Christophe !!! Ça m'a l'air pas mal ces protecs,dès qu'ils font une combi intégrale avec ce matériau, j'achète !!
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